TRAVELLING ET CONTRE-JOUR

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Travelling & Contre-Jour : La saga

La Structure
Le Concept
Les Perspectives de Développement

La Structure

Portrait de Walter Todesco et de Diane Tulli © Philippe EnglebertTravelling & Contre-Jour est une série cinématographique qui se découpe en plusieurs films autonomes, et d’abord en une première trilogie : Karma DV (le 1er opus, sous forme d’un court/moyen métrage de 30 minutes), Cicero (2ème épisode, moyen métrage de 52 minutes), Travelling & Contre-Jour (long métrage de 130 minutes, portant le titre éponyme de la saga entière), accompagnée d’un quatrième épisode bonus : Wind Forward (clip de 26 minutes).
Bien que constituant les volets d’une même série, ces films ont l’originalité d’être présentés sous des formats différents, et peuvent d’ailleurs même (à l’exception notable de Wind Foward), être appréciés de manière totalement indépendante les uns des autres, chaque histoire ayant son message et son authenticité. Néanmoins, ils constituent un véritable ensemble, et impliquent des personnages récurrents dont le public peut suivre le destin tout au long de la saga. Et lorsque sont réunies les pièces du puzzle que constituent les différents récits, de nouvelles perspectives se révèlent…

La série appelle ensuite d’autres épisodes, Wind Forward annonçant d’ailleurs les développements futurs de l’histoire en même temps qu’il constitue un prolongement direct des trois premiers films.
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Le Concept

Aventure profondément humaine, Travelling & Contre-Jour relate les histoires d’une galerie de personnages hauts en couleurs, dont les chemins se croisent, et parfois s’entremêlent, au fil de la saga. Walter Todesco et sa fidèle compagne Diane Tulli - le couple inséparable -, Emy Freim armée de son fabuleux enthousiasme, la très BCBG Doris Veldman, la redoutable avocate eurasienne Kim Hai, l’ambitieux Vincent Therssen, les incorrigibles curieuses Valentine et Nathalie Lonsart, ou encore Lionel Servais, l’inimitable pitre aux cent mille farces, sont quelques-uns des héros d’une saga qui ne ressemble à aucune autre.
Se frottant au mélange de genres, cette série au style cinématographique volontairement inclassable où se côtoient humour, suspense, débats d’idées et satire sociale, tente au passage et en toute simplicité de recolorer quelques thèmes séculaires propres à la nature humaine.
Destinée, hasard, bonheur, sens de la vie… autant de grandes questions qui, parmi bien d’autres, seront revisitées de manière simple, sincère et originale par ces personnages attachants qui vous feront rentrer dans un univers profondément authentique.

Le public suivra ainsi leurs pérégrinations à travers des tranches de vie intimistes et très réelles, qui sont en réalité filmées par les protagonistes eux-mêmes…
En effet, le fil conducteur de la série est l’utilisation constante d’une caméra subjective et intégrée à l’action.

Portrait d'Eric Prévost et d'Alexandra Tombacq © Philippe EnglebertLa trame implique en réalité trois groupes de personnages, à première vue distincts, dans lesquels l’un d’entre eux a à chaque fois décidé d’immortaliser des instants qui se révèleront précieux. D’un côté, Valentine et Nathalie, deux cousines, curieuses de nature et vidéastes amatrices, utilisent leur caméra pour capter, chacune dans leur coin respectif, les tribulations de leurs bandes d’amis pour le moins turbulents. De l’autre évolue l'entourage de Walter Todesco, probablement le groupe le plus uni, au sein duquel Jean-Fred, professionnel de l’audio-visuel et associé de Walter, ne manque pas une occasion de pêcher et de collectionner les moments privilégiés. Toute la narration passe donc par un subtil montage où s’alternent des images récoltées par ces trois observateurs.

Naturellement, l’emploi de cette technique subjective renforce encore davantage le sentiment de vérité et d’ « instants volés », plongeant le spectateur au plus près de l’action pour lui permettre d’apprécier toute la psychologie des personnages et les atmosphères dans lesquelles ils baignent.

Bien qu’ils soient souvent présentés en groupes séparés (ceux que l’on appellera le « Clan Todesco » d’une part, ceux de la « Bande à Nat’ », d’autre part, et « Valentine et les Autres », enfin), le public découvrira progressivement les liens, directs ou indirects, entre les membres des différentes factions, comme leurs oppositions, parfois très marquées. Ces éléments prendront notamment toute leur signification par le cross-over réalisé dans Travelling & Contre-Jour, troisième volet de la série, mais qui constitue en fait un flash-back au niveau de la chronologie.

C’est donc par cette formule singulière que la saga invite le public à s’interroger sur une foule de questions propres à la nature humaine. Sans prétention et sans discours moralisateur, les héros de l’histoire vont, à travers leur vécu, ouvrir des pistes de réflexion souvent inattendues sur une série de thèmes que l’on pensait oubliés. Ils vont avant tout ouvrir les portes d’un véritable univers. Un univers qui nous ressemble. Un univers qui est pourtant voué à surprendre.

Là où Karma DV plante le décor et commence à ébaucher quelques éléments du destin des protagonistes par une réflexion sur la part de hasard et de déterminisme de la vie, Cicero poursuit l’évolution de leur personnalité, et revisite de façon ultra moderne un des plus grands mythes de l’histoire de l’humanité. Travelling & Contre-Jour, quant à lui, viendra apporter un éclairage étonnant sur l’ensemble de la série, en revenant sur un passé troublant. Enfin viendra Wind Forward, court-métrage construit sous la forme d’un clip cinématographique, qui effectuera à l’inverse un bond dans le futur pour dévoiler en partie l’avenir des différents personnages. La trilogie devient alors tétralogie, avec cette particularité que ce quatrième module constitue un film nettement moins indépendant que les trois autres, puisque la projection dans le temps qu’il propose s’appuie obligatoirement sur un vécu mis en place dans la trilogie initiale. Wind Forward est d’ailleurs destiné à être proposé en bonus aux films précédents et dans la continuité de la série plutôt que comme un film autonome.
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Les Perspectives de Développement

Portrait de Vicky D'Hollander © Philippe EnglebertDavantage qu’une suite cinématographique, Travelling & Contre-Jour constitue un véritable petit monde. L’histoire est en effet destinée à se prolonger par le biais de plusieurs autres projets parallèles, qui donneront une dimension encore plus large à l’univers.

En plus de ce site internet qui, au fur et à mesure de sa construction, offrira des compléments de plus en plus détaillés sur le background des héros, trois romans (Le Clan Todesco, La Bande à Nat’ et Valentine et les Autres) sont en préparation et offriront un autre regard, plus littéraire cette fois, sur les personnages et leur destin.

Sur un plan strictement cinématographique, d’autres films (dont notamment un cinquième volet, Petites séquences entre nous, en quelque sorte déjà annoncé par le fameux Wind Forward) sont également en prévision, avec l’ambition de poursuivre l’évolution de la série.

Il ne tient plus qu’à vous de visiter le petit monde de Travelling & Contre-Jour, un univers simple comme la vie et pourtant si particulier, un univers que ses créateurs, de manière troublante, ont parfois façonné à leur image et souvent nourri de leur propre vécu. Ainsi les comédiens ne sont-ils plus seulement des acteurs, mais en viennent pour ainsi dire à jouer ce qui est devenu leur histoire…
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